Jah Light, Basile Valentin Okon à l’état civil, est née le 2 septembre 1981 à Cocody, Abidjan, Côte d’Ivoire. Son père est alors directeur pédagogique et sa mère agent commercial. Il grandit avec ses dix frères et sœurs dans la commune des deux plateaux où il passera son enfance et son cursus scolaire.
Il est très vite pris par le virus de la musique et passe son temps libre dans les couloirs des studios de fortune qui se développent à Abidjan. Il intègre rapidement différentes formations musicales reggae et commence à chanter avec le groupe reggae Jam en 2001. Le groupe se produit régulièrement dans les différents spots de la ville (Pams, Jamaica, Kingston, Menekre). Il a à peine 20 ans quand il décide d’arrêter ses études à l’INSAAC et s’immerger dans sa culture, préférant passer nuits et jours avec ses aînés. Jah Light s’embarque alors dans une vie de Bohème propre aux aspirants artistes. Il prendra la route pour des tournées dans la sous-région, notamment au Burkina et au Bénin. Jah Light se fait un nom. On le demande en 2011, d’abord Alpha Blondy pour un duo sur le titre International Herb puis Les Vieux Mogos – le groupe le plus international d’Abidjan – pour leur titre I’m Dread. Anti conformiste et rebelle dans l’âme, Jah Light est multi instrumentiste (guitare, basse, batterie) et ne jure que par le Reggae. De 2007 à 2020, il se produit régulièrement en tant que chanteur lead au mythique Parker Place. Une expérience certaine de la scène qui vient aussi enrichir son impressionnant répertoire de reprises. Jah Light est un artiste entier et sincère qui contribue activement à développer le reggae ‘made in Côte d’Ivoire’. Ce premier album, très attendu, représente l’aboutissement de 20 ans de carrière et une nouvelle page qui s’ouvre pour l’artiste. Jah Light y présente 9 titres qu’il a lui-même écrits et interprétés, ainsi que le titre Corona Can’t Stop Reggae venu s’imposer comme une évidence, véritable cri d’espoir en collaboration avec les chanteurs General Dimitri et Ras Kalif. Egalement au tracklisting de l’album, la légende jamaïcaine Don Carlos sur Who Can Save Jah Children enregistré en décembre 2020 à Abidjan. Jah Light chante les thèmes qui lui sont chers. De Cette Chanson à Let Jah Be Praised en passant par Politique Vampire, son engagement reste authentique et résolument tourné vers la culture rasta. La maturité aidant, le prolifique Jah Light promet d’enchaîner les projets et de traverser les frontières avec sa musique
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